Nom : inconnu.
Prénom : Kaan.
Surnom :
Âge : 17 ans
Tendance : Neutre tendance méchant: il peut commettre les pires meurtres pour les autres alors que pour lui c'est dans son intérêt, voir presque normal.
Métier : aucuns. S’il a besoin de quelque chose, il le vole.
Caste : Psycho.
Histoire : Histoire : Kaan est né dans une famille très modeste habitant le désert cruel d’Estys. Ses parents, des Psychos étaient les membres d’une petite tribu, ils éduquèrent leur fils unique du mieux qu’ils purent, lui inculquant les notions de « bien » et de « mal », de bonté et de partage. Il alla à l’école qu’établissait le camp à chaques haltes, apprenant du mieux qu’il pouvait les enseignements que prodiguaient les « Anciens ».
Ses parents, eux, travaillaient comme ils le pouvaient : sa mère aidait les autres femmes à « cultiver » ce qu’elles trouvaient et son père, lui, chassait le maigre gibier qui passait près de la zone de chasse du camp.
Malgré les conditions de vie quelque peu rudes, Kaan aimait où il était. Néanmoins, ses parents le surprirent des dizaines de fois à observer le coucher des soleils, plongé dans ses pensées secrètes et impénétrables. Oui. Le jeune garçon avait beau aimer sa vie, sa place, il ne pouvait s’empêcher de rêver, de penser à ce qu’il y avait ailleurs que dans le désert Estysien.
Quand Kaan eut atteint l’âge requit par les règles de sa tribu, c’est à dire 16 ans, il put accéder aux cours « Psychos ». Et, étonnamment, Le jeune homme paraissait plus doué pour la magie que pour géographie ou l’histoire. Cela s’en ressentait en lui, il était plus posé, plus calme, et surtout, plus charismatique depuis qu’il suivait ces cours. Tout allait pour le meilleur des mondes, Kaan avait dépassé les bases et il semblait qu’il se spécifiait plus vers les éclairs de magie. Mais, un soir, alors qu’il avait était envoyé poser des pièges à Ruken, sa tribu se fit attaquer. Quand le jeune homme, remontant une grande dune, vit au loin de la fumée planer sur l’emplacement de son camp : son cœur se serra et après un cour instantbde flotement il se mit à courir en direction de cette fumée. Chargent dans ses poings serrés de l’électricité et sentant au fond de son cœur de la peur, Kaan se mit à pleurer.
Arrivé sur le lieu du massacre, le jeune homme tomba, genoux à terre. Hommes, Femmes, Enfants… Ils avaient tous étés massacrés soit par de la magie, soit par des armes. Quelques tentes, ça et là, encore en feu, dispersaient la fumée noire que Kaan avait aperçue au loin. En arrivant à la tente familiale, le jeune homme put voir son père, adossé contre la toile et, sur ses genoux la dépouille de sa femme, encore en vie, du sang coulant de ses lèvres : il n’en avait plus pour longtemps. Affolé Kaan se précipita sur le corps agonisant de son père, ce dernier allant mourir et voulant alléger sa conscience avoua à son enfant qu’il n‘avait jamais était leur fils. Kaan ne le croyant pas et pensant que la folie s’était emparée de l’homme mourant qui se trouvait devant lui pria de se taire et de garder des forces… L’homme ne voulut rien entendre et commença son récit : « Un soir, alors que la tribu s’était arrêtée pour dresser le camp, un étrange individu avec un énorme paquetage avait surgi d’une dune. Il était mortellement blessé. L’homme tenait dans ses bras un petit paquet de chiffons dans lequel un bébé dormait profondément. Il tomba à terre devant les premières personnes qui se tenait devant lui : la mère et le père adoptif de Kaan. Le mourrant réussi seulement à donner un mot : le nom du bébé, "Kaan". Le lendemain matin, il avait expiré, on l’incinéra et on dispersa ses cendres dans le vent du désert… Les seuls objets de valeur qu’il avait en sa possession était une épée coutre avec le nom du bébé frappé sur le pommeau, une bure noire et pourpre et une paire de botte en cuir noir.»
Le père adoptif de Kaan lui expliqua que ces objets étaient cachés dans le double font du coffre à bijou de sa mère adoptive, il ferma les yeux et cessa de respirer. Et c’est ainsi que l’homme qui avait élevé celui qui avait la destiné la plus sombre d’Angélus, mourut…
Fou de peine, de souffrance et de haine, le jeune homme hurla son désespoir à pleins poumons et sans voix, s’écroula sur le sable encore tiède du crépuscule et pleura… Petit à petit, il naissait en lui un sentiment étrange, qu’il n’avait jamais ressentit. Ce sentiment était aussi puissant et destructeur qu’Odin, aussi brûlant que Dragma, aussi terrifiant qu’Abbadon, aussi vicieux qu’Hydra, aussi insaisissable que Quetya et aussi invisible que Backard… Ce sentiment était la Haine…
Saisi par la véhémence de ses émotions Kaan arrêta de pleurer, et se surpris à prendre goût à cette Haine, douce et dévoreuse… Lui qui n’avait rien demandé, qui avait toujours agit de bonne fois on venait lui briser son univers, son âme, sa vie… C’était injuste ! Posant inconsciemment un regard mouillé sur une lame encore ensanglantée et, remplit de désespoir et de colère, la plaçant pointe contre son ventre, il repensa à toutes les choses qu’on lui avait enlevées injustement… Mais oui. « Qu’on » ce n’était pas lui ! Il n’avait pas à payer pour les erreurs d’autrui ! Au contraire, il devait faire payer ce qui lui était arrivé ! Se relevant complètement, refoulant pour la première fois ses larmes, ses yeux prirent une teinte bleue électrique et son âme une nuance de noir… Il eut beau fouiller sa tente il ne découvrit pas le coffre : Il avait dut sûrement être emmené par les attaquants. Les attaquants… Ils avaient eus beau partir discrètement et sans bruit, le sable n’avait pas avalé tout de suite leurs traces. Kaan, décidé à se venger se mit à les suivre l’arme à la main, peut lui importai que la nuit tombe, qu’ils étaient sûrement plus nombreux que lui et qu’avec le vent qui se levait il y avait de grandes chances de se perdre. Peu lui importait: il voulait tous les tuer jusqu’au dernier…
Il marcha pendant 2 heures… Par une nuit glaciale et froide, les traces ne se voyaient plus depuis belle lurette mais à quoi bon : Le vent les avaient déjà toutes dispersées. Est-ce par hasard ? Est-ce le destin ? On ne le saura jamais. Quoi qu’il en soit après ces 2 heures plus qu’éprouvantes notre héros tomba sur un campement placé au creux d’une dune. Peut-être était-ce un autre camp de nomade… Kaan s’en fichait royalement. Pour lui, il avait trouvé les assassins. Attendant que les sentinelles passent à sa portée le jeune homme les égorgeaient par derrière en plaquant sa main sur leur bouche pour commettre avec plus de silence ses crimes. Après les sentinelles se fut au tour des passibles dormeurs qui, assoupi dans leur couche, ne se doutaient point qu’un terrible assassin pénétrait dans leur tente. Presque tout le campement périt ainsi, même les femmes, même les enfants, même les vieillards... Tous moururent sous la lame d’un Kaan en proie à la haine et au désespoir. Tous ? Non. Pénétrant dans une tente pour son dernier méfait le jeune assassin fut surpris: Il n’y avait personne. Certes il y avait une couchette mais elle était défaite, comme si son occupant en était parti précipitamment.
Kaan n’eut la vie sauve qu’à un réflexe moteur. En effet. L’ « occupant » avait tenté d’éliminer Kaan d’un coup d’épée dans la nuque, malheureusement, son adversaire s’était baissé à temps, seule une mèche de cheveux fut coupée. Se retournant, le jeune homme put voir le visage buriné d’un vieux chef d’une tribu-mercenaire et qui n’hésitait aucunement devant le pillage et les massacres. De plus, pour lui personne ne le savait : le désert était grand et qui viendrait s’intéresser à lui ?
S’en suivit un combat épique, où le jeune homme, voulant venger les siens, s’attaquait au vieux chef de tribu. Pendant 1 heure la fougue et l'expérience s’affrontèrent. Quand soudain. Las et fatigué de ce combat, Kaan, par maladresse, laissa tomber son arme. Très prompt à la victoire le vieux chef de guerre fanfaronna, il ne pris pas garde à laisser à porter de main la lame de son épée : ce qui causa sa perte. Ne pensant même pas aux coupures qu’il se faisait, Kaan saisit à deux mains la lame de son adversaire et la chargea instantanément d’électricité. La main calcinée, le vieux guerrier tomba à terre, ne pouvant rien dire, comme paralysé. C’est sans aucune once de pitié que son advérsaire le décapita de sa propre épée. Kaan réalisa ainsi, avec ce premier massacre, un pas vers le mal absolu.
Deux jours plus tard un convoi alimentaire de Termina découvrit sur le sable brûlant du désert un jeune homme de 17 ans, il tenait dans ses bras une épée courte ainsi que des vêtements : une bure et des bottes de cuirs noir. Il fut ramené dans un hôpital du royaume et pendant 3 jours il ne sortit pas de son inconscience. Puis le 4ème jour, l’infirmier venant vérifier son état trouva la chambre vide, la fenêtre ouverte, le lit fait les placards vides. Il était partit.
Caractère : Très Charismatique. Il est presque aussi froid qu’un assassin. Néanmoins, s’il s’énerve il devient incontrôlable : il peut tout aussi bien s’épuiser inutilement en coup qui donne ou alors tout aussi bien gagner le combat assez rapidement : sa colère lui cache certains choix qui peuvent être cruciaux et déterminants pour lui.
Description physique : Kaan a les yeux très bleus, les cheveux blonds, ses traits son assez marqués pour un jeune homme de 17 ans. Il est assez musclé mais il a une carrure moyenne. Il mesure 1m86 pour 77kg. Il est généralement emmitouflé dans une toge de bure, noire à l’extérieure et pourpre à l’intérieure. Il porte aussi une paire de bottes noires qui lui arrive juste au-dessous du genou.
Autre : Il a beau avoir les bases de la magie, Kaan n’utilisera que ses éclairs. Ils ne sont certes pas aussi puissant que ceux de Star Wars mais associés avec l’épée qu’il possède, Kaan, peut les faire devenir dangereux. Son épée est une arme courte. Elle n’a pas de garde, elle possède un pommeau en or et une lame en métal un peu émoussé.
Pour vous donner une idée la voici :
http://www.commedia78.com/images/accessoires/glaive.jpgEDIT : Suite à une pulsion de sa Haine et de son ambition mégalo-Imperiale, Kaan regroupe sous ses ordres des Pnj's pour créer son propre mouvement pour renverser un à un tout les royaumes et tout simplement créer son propre Empire. La plupart des Pnj’s lui servent de chair à canon et le plus souvent de larbins. Dans ses topic il sera souvent accompagné d'un badaud normal voir faible.