Linamarina Makinaskova, dite "Lina"[validé]

Nom : Makinaskova

Prénom : Linamarina

Surnom : Lina

Âge : 21 ans

Tendance : Neutre tendant vers le Gentil

Métier : Duelliste errante, mercenaire à ses heures perdues

Caste : Psycho

Histoire : Il existe de nombreuses façons de commencer son existence. La plupart des gens la commence pourtant presque de la même manière, dans une vie à peu prés heureuse, mais pas trop, suivant les traces de leurs parents ou au contraire en s’en démarquant le plus possible, ayant des amis, un métier, quelques convictions politiques, mais pas énormément, et pas de façon véhémente… Ces gens, qui composent la majorité de la population de tous les mondes, sont des êtres banals, peu intéressants, commun, dont la notoriété ne dépassera pas leur quartier, mais qui n’auront jamais à se soucier d’enjeux mondiaux et de combats titanesques pour la survie du monde. Et puis il y a les autres… Ceux qui ont un passé triste, voire affreux, et qui tirent de ce passé, soit un désespoir qui en fera des gens tout aussi inintéressants que les premiers, soit un courage, une volonté de revanche qui leur feront prendre un tournant très différent.

Il y a des gens qui s’étonnent que la plupart des héros de romans, de films ou de jeux aient des parents, soit secrètement adoptifs, soit morts dans d’ atroces souffrances ; mais c’est qu’il y a une raison à cela : un passé banal et sans interet forme souvent des gens à son image, et une crise existentielle comme la mort de la famille a plus tendance à forger des êtres durs et à même d’avancer quels que soient les obstacles qui se dressent face à eux… Mais sans doutes vous demandez-vous pourquoi j’écris tout cela dans la section « histoire » ? Parce qu’entre les gens qui ont une enfance heureuse et ceux dont les parents meurent soudain, on oublie presque tout le temps une troisième catégorie : ceux qui ont la chance d’avoir leurs parents en vie… Mais qui préfèreraient que ce ne soit pas le cas. Vous voyez mieux où je voulais en venir ? L’héroïne de cette histoire appartient à cette catégorie.

Linamarina Makinaskova naquit par un beau jour de printemps, dans le royaume d’Ansua. Son père était un Menos de basse catégorie, avec un métier minable, des pouvoirs minables, une mentalité minable, bref, c’était un minable… Il s’abrutissait devant la télévision en rentrant de son boulot ennuyeux à mourir, en s’engloutissant des bières, l’œil vide, la paupière basse… Sa mère était une Psycho, elle, leur mariage représentant une alliance assez peu commune. D’ailleurs, la mère, Myrtha, venait d’une famille de Psychos assez nobles, et même riches ; malheureusement, c’étaient des traditionalistes conservateurs qui ne supportaient pas l’idée que leur enfant tombe dans les bras d’un « minable Menos», ce mariage d’amour étant « contre-nature ». Ils lui coupèrent les vivres, la réduisant ainsi au même degré social que son mari. Et évidemment, elle avait reçu une éducation aristocratique, et n’était pas du tout prête à travailler pour gagner sa vie, ce qu’elle dût pourtant faire pour assurer la survie de leur couple, qui commença d’ailleurs à péricliter en quelques années… Mais leur amour dura cependant assez longtemps pour que leur naisse deux enfants : une fille, Linamarina, l’aînée, et un garçon, Alexandr, le cadet.

La fille grandit dans un environnement qui devint dés sa quatrième année très peu agréable… Le père, drogué au petit écran et engloutissant une bonne partie de l’argent du ménage en bière, et la mère, aigrie, violente, et qui se servait des alcools bien plus fort ne leur donnaient pas vraiment tout l’amour qu’elle aurait pu espérer. Son frère, tendre et gentil par contraste avec ses parents, était en fait la seule once de lumière dans sa vie. Mais il ne suffit pas à enrayer la lente chute de la jeune fille, qui, ne supportant pas ses géniteurs, finit par passer le plus de temps possible loin de sa maison. Constatant qu’elle devenait de plus en plus agressive, même vis-à-vis de son frère, elle commença à prendre des cours d’arts martiaux pour canaliser ses pulsions violentes. Elle apprit les bases de la magie, même si ce n’était pas son souci principal. Mais même ses cours et tout l’apprentissage des arts martiaux ne purent empêcher ses idées noires et ses pulsions les plus violentes de prendre le dessus. Elle finit par déambuler dans les rues, par se lier avec des bandes de voyous, à la limite de la délinquance. Elle passait de plus en plus de temps dehors, apparaissait de plus en plus renfermée, de plus en plus sombre… Finalement, ses « amis » l’entraînèrent plus loin encore, et ils commirent ensembles des actes plus graves ; tags sur des murs, insultes, petits vols, rackets, gros vols… Elle avait été à la limite de la délinquance ; elle passait la limite de la criminalité.

Evidemment, elle n’était pas la seule à changer dans sa famille. Si elle sombrait ainsi de plus en plus dans la violence, c’était en partie parce que son état familial s’aggravait. Sa mère en était au point de frapper ses enfants, en particulier Alexandr ; Lina lui faisait peur, elle ne l’aimait pas et rabattait la frustration due à cette peur et cette animosité sur son fils, victime sans le savoir d’un amour raté. Quand au père, son licenciement pour des impératifs de gain acheva de le réduire à l’état de légume vivant -si tant est qu’on ai vraiment pu lui adjoindre l’adjectif « vivant ». Jusqu’ici, cette histoire est d’une tristesse presque banale, et il est assez facile de deviner où elle aurait put aboutir… Mais contre toute attente, elle eut un dénouement bien différent.

Lina plongeait certes dans le crime; mais cette existence égoïste, la violence dont elle faisait preuve, tout cela, même si c’était son unique mode de vie, tout cela, donc, parfois, elle le regrettait. Mais pas n’importe quand ; elle le regrettait fugitivement, l’espace d’une seconde, lorsqu’elle croisait le regard de son frère. Alexandr, malgré les brimades, les coups et le désintéressement paternel, avait gardé une certaine candeur enfantine, il était toujours un garçon tendre et aimable, peu porté sur la violence où le combat, qui ne pouvait s’empêcher d’être toujours triste lorsqu’il voyait ce qu’était devenu sa seur. Et Lina, un jour, après une dispute avec sa bande, et voyant le seul parent qu’elle appréciait désespéré de sa déchéance, finit par prendre une grave décision; elle allait arrêter ce cycle infernal, cet engrenage de violence, et redevenir la jeune fille qu’elle avait été, avec comme seule activité « violente » les arts martiaux et la magie, et de reprendre sa vie à zéro, avec son frère comme soutien… Le soir, où plutôt la nuit du jour où elle avait prit cette décision, emplie de détermination et de courage, ainsi que d’affection envers son frère, qui l’avait inconsciemment tirée de sa (très) mauvaise passe, elle rentra chez elle.

C’est alors que sa mère, à moitié, voire complètement ivre, se dressa face à elle, debout malgré l’heure, et commença à lui débiter un monceau de reproches sur sa conduite, sur ces amis, bref un discours véhément et alcoolique, en agitant une bouteille aux trois quarts vides d’un air menaçant... Mais Lina n’avait pas peur d’elle. Elle l’avait détesté, c’est vrai, mais aujourd’hui, forte de sa résolution nouvelle, elle n’éprouvait qu’un mépris nuancé de pitié envers cette pauvre femme qui avait lamentablement raté sa vie, et resta de marbre face à la noble déchue. Evidemment, un mépris nuancé de pitié est la pire des attitudes à avoir face à un être qui sait qu’il a en face de lui quelqu’un qui ira plus loin qu’il n’a jamais été; cela suffit à provoquer la haine. Si en plus vous restez de marbre, cela attise les flammes d’une manière extrêmement dangereuse. La mère s’emporta de plus en plus, s’approchant du point de non-retour de la colère. C’est alors que Lina remarque l’absence de son frère… D’un ton vide, neutre, qui tranchait radicalement avec celui de sa mère, elle interrompit le flot d’injure pour demander où était Alexandr. Sa mère lui déclara alors qu’elle l’avait envoyé chercher de l’alcool… A trois heures du matin, dans les rues menaçantes, sans lui avoir donné d’argent, et en lui interdisant de rentrer sans boisson. Cela suffit à faire éclater la colère de la combattante, qui hurla aussi fort que sa mère, les deux s’insultant, se traitant de noms horribles, se balançant leurs quatre vérités au visage… Le père, comme toujours depuis des années, n’avait pas la moindre réaction… Et au final, Myrtha leva la main quiu tenait sa bouteille, comme si elle allait l’abattre… Elle n’en eut jamais l’occasion. A cet instant, Lina frappa, déchargeant dans ce coup sa haine et sa colère, combinant son art du combat à sa science magique, touchant d’instinct un point vital. La mère s’écroula, sa nuque cogna le rebord d’un meuble, et elle mourut avant d’avoir touché terre.

Lina resta longuement prostrée face au cadavre, prenant lentement conscience de l’acte qu’elle avait commis, tandis que son père enfin actif courrait jusqu’au commissariat. Malgré son passé obscur, jamais elle n’avait commis de meurtre. Jamais elle n’était allé aussi loin dans le crime. Elle venait en un instant de trahir toute l’idéologie de sa formation aux arts martiaux, de commettre le pire des crime, de briser à jamais sa famille et de se condamner… Il lui fallut une longue demi-heure pour reprendre conscience et cesser de béer la bouche ouverte, les yeux écarquillés, muette, brisée. En fait, elle reprit conscience au moment où les forces de l’ordre la traînait vers un véhicule de transport de suspects, et elle tomba à genoux en hurlant. Les policiers se penchèrent pour la relever… A ce moment elle frappa à nouveau, les surprenant tous, et s’enfuit par les rues et les toits. Elle même ne se souvient pas comment elle parvint à leur échapper toute la nuit durant, pour se retrouver le matin endormie au pied d’un arbre, dans le jardin d’un Ansuen. Ce réveil, d’ailleurs, fut causé par un vieil homme qui la secouait d’un air amusé pour la faire se lever… Effrayée, elle s’enfuit à nouveau, et se rendit rapidement compte qu’elle était perdue, dans le deuxième sens du terme : elle n’avait aucune chance de sortir de la ville libre et vivante. Et pour quoi ? Pour se crime ? Peut-être après tout valait-il mieux se rendre… Mais elle refusa cette possibilité. La veille, elle avait choisi de tout reprendre à zéro, et c’était ce qu’elle ferait, même si elle devait garder pour le restant de ses jours le remord d’avoir tué sa mère. La pensée de revoir son frère une dernière fois lui traversa l’esprit, mais elle y renonça rapidement ; lâchement, elle ne voulait pas le revoir comme une meurtrière, et s’écrouler en pleurs devant sa vie brisée. Elle reprit alors une dernière fois le chemin de la « base » de son gang, un simple appart désert en fait, et y vola l’argent qu’il restait. Alors, elle reprit une dernière fois le chemin du dojo où lui avait été enseigné l’art du combat, et discrètement, sans être vue de personne, vola l’une des armes qui s’y trouvait, le Zanbato –laissant l’integralité de l’argent volé en compensation. Et elle s’enfuit, par les portes de la cité, profitant d’un instant de relâchement de la part des gardes pour forcer le passage ; avant de s’enfuir dans les bois sous les projectiles, blessée mais en vie, et libre. C’est dans ces bois qu’elle passa les année de sa vie qui suivirent. Evidemment, le continent Olays n’est pas du genre à permettre la survie d’une jeune duelliste n’excellant pas dans la magie et n’étant pas doté de la puissante technologie Menos… Mais Lina, en restant aux abords de la ville dans un premier temps, parvint à survivre péniblement, avec l’aide considérable de l’arme volée, une énorme lame qui faisait facilement sa taille. A défaut d’être très maniable dans les premiers temps, elle en imposait, et augmentait largement la taille apparente de la fugueuse quand elle la tenait au dessus de sa tête, ce qui parvenait à décourager les plus petites créatures. A l’approche des plus grandes, elle s’enfuyait. Finalement, au bout de trois longues années, Lina était devenue une combattante aguérrie, capable de survivre dans le fond de la jungle d’Olays, maîtrisant une forme de magie la mettant en harmonie avec son environnement. Elle pensa alors qu’elle était prête à redémarrer sa vie, comme duelliste errante, et se mit en chemin vers la civilisation…

Caractère : Lina a ce meurtre qui l’a longtemps obsédée, dont elle ne se considèreras sans doute jamais comme affranchie. Mais aujourd’hui, cela ne la bouleverse plus tout le temps, et même si il lui arrive parfois de se complaîre dans la mélancolie, elle est généralement une jeune fille plutôt enjouée et sympathique. Elle aime se mettre à l’épreuve, tester ses capacités, et à se titre elle adore les duels, qu’ils soit amicaux ou contre un ennemi. Elle se montre le plus souvent amusée de ses combats, même lorsqu’elle encaisse un coup ; en fait, ce qui l’interresse, plus que le combat physique, c’est la mise en jeu de toutes ses forces et leur opposition avec celles de l’adversaire. A ce titre, elle appréciera autant un jeu d’esprit qu’un combat à l’épée, du moins si les forces en jeu sont équivalentes dans les deux cas : peut-on comparer des charades enfantines et un duel de possesseurs de cristaux ? En dehors du combat, Lina est globalement sympathique et agréable à côtoyer, bien qu’assez caractèrielle. Son humeur change souvent, mais reste généralement dans le registre du positif. Il lui arrive de dissimuler ses émotions, mais si on lui demande, elle dit le plus souvent à quoi elle pense. Il lui arrive de tourner les autres en dérision, mais c’est toujours en plaisantant, et est assez exaspérée lorsqu’on se vexe d’une de ses vannes. Il y a cependant une face cachée à cette personnalité agréable, bien qu’elle n’ait rien à voir avec des « secondes personnalités » telles que Battosaï où Kyo aux yeux de démon… En fait, il est très dur de mettre Lina en colère, car elle a appris à contrôler ses émotions. Mais lorsqu’elle s’énerve vraiment, elle ne se contrôle plus et se déchaîne sans la moindre retenue. Elle reste la même personne, avec la même mentalité et la même mémoire, cependant elle est aveuglée par sa colère. Mais cela reste très rare. Bien que d’un tempérament assez individualiste, elle n’hésite pas à se louer comme mercenaire si elle trouve une offre intéressante ; cependant, elle ne sera pas du genre à poster une petite annonce pour proposer ses services, car elle n’a pas besoin de métier. Elle désire devenir une combattante puissante et redoutée ; une motivation simple, mais un désir peu aisé à remplir.

Description physique : Lina est une fille plutôt grande et élancée. Elle a des cheveux roux ternes, pas « incendiaires » , courts, qu’elle laisse le plus souvent décoiffés. Ses yeux sont d’un bleu marine très sombre, en amandes. Son visage est plutôt fin, sa peau un peu mate. Elle a des traits assez mobiles, qui laisse transparaître ses émotions, ce qui en fait une très mauvaise menteuse ; du coup, son apparence générale peut varier du style « tueuse implacable » au style « jeune fille innocente » au gré de ses changements d’humeur. Elle porte des cicatrices sur son plusieurs endroits de son corps, de taille variable, mais que ses habits dissimulent asses. Elle est vêtue d’habits sombres, résistants, qui peuvent aussi bien servir de vêtements de voyage que de combat ; ils sont assez épais, et permettent de se déplacer même dans le froid, sans pour autant la faire mourir de chaud quand elle est au soleil. Elle a aussi des gants noirs, d'un modèle qui ne recouvre que les paumes et la première phalange en laissant les doigts libres. Par dessus ces habits, elle porte une cape voyage brun-rouge, dotée d’un capuchon qu’elle met rarement.

Autre :

Combat à Mains nues : Le combat sans armes est le premier style que Lina a appris, et qu’elle a perfectionné au cours de son existence tumultueuse. La technique qui lui a été enseigné, l’Ataru, se base sur une très grande agilité et des mouvements rapides et acrobatiques. Les coups y sont enchaînés à très grande vitesse, frappant l’adversaire de toute part jusqu’à ce qu’il révèle une faiblesse qui permettra de l’atteindre. Les mouvements de l’Ataru sont amples et rapides, nécessitant un certain espace libre pour se développer pleinement. Son utilisateur se servira de son environnement pour optimiser au maximum ses attaques, par exemple en se servant d’un mur comme point d’appui. Lina utilise également sa magie pour se rendre plus rapide, plus forte et plus résistante, ce qui en fait une combattante redoutable, même sans armes.

Magie directe: L’Ataru ne nécessitant pas l’integralité du potentiel magique de Lina, lorsqu’elle se bat sans armes, elle peut faire appel à sa magie de manière directe. La forme qu’elle en a apprise se base, non sur l’énergie personnelle du magicien comme dans la plupart des cas, mais sur toute l’énergie environnante, celle de la terre, de l’eau, des fleurs, du ciel… Lina ne puise pas dans cette énergie, en fait, elle se met en harmonie avec elle, et peut donc la manipuler ; par conséquent, elle ne l’absorbe pas, ce qui s’apparenterait à un effet destructeur, mais elle la contrôle. Elle y perd en puissance brute, mais y gagne en maîtrise et en habileté. Cette manipulation d’énergie lui permet des effets de combat intéressants, telles des lames d’énergie fusant de ses mains ou des armes surgies du néant qui ne durent qu’une seconde. Cette magie dépend évidemment de son environnement, et sera plus efficace dans une forêt dense que sur un ring de combat vide. Cependant, dans le cas d’un duel « officiel », elle peut détourner l’énergie du public… Ca, s’est pour l’attaque, sa tactique préférée. Mais elle peut aussi faire usage de magie de défense, et ce sous deux formes : elle peut utiliser le « bouclier », une barrière magique qui ne dure qu’une seconde, peu résistante mais pouvant facilement dévier les attaques ; ou elle peut se servir d’une armure, auquel cas l’énergie défensive englobe tout son corps en suivant ses contours. Visuellement, l’armure ressemble à une aura d’énergie bleue-verte ; elle ne bloque pas les coups, mais elle diminue leur effet, particulièrement dans le cas d’attaques tranchantes, et agit de manière continue.

Zanbato et Magie indirecte : Lina manie une arme redoutable : le Zanbato, énorme croisement de la lance et de l’épée. Sa taille totale dépasse celle de Lina, et son manche seul fait la taille de son avant-bras. Il n’a pas de garde, la lame extrêmement large étant directement fixée sur le manche, lui-même en fer recouvert de cuir. Forgé dans un acier particulièrement solide avec un art consommé, le Zanbato (surnommé Sandr, en mémoire de son frère) n’est pas en lui-même indestructible ; cependant, sa masse considérable combinée à la résistance naturelle de son composant principal le rend très dur. De plus, cette résistance (donc cette force d’impact) est encore augmentée par un phénomène expliqué plus bas. Il peut donc infliger de lourds dégats, à la fois d’impact et de tranche.

En temps normal, une arme aussi lourde est presque impossible à manier. En effet, en raison de son poids, le Zanbato peut à peine être soulevé par la force pure ; c’est pourquoi l’assistance de la magie est indispensable. Lina utilise la même technique magique qu’avec l’Ataru pour amplifier ses capacités physiques lorsqu’elle emploie cette arme. Cependant, afin d’optimiser au maximum son maniement, elle redirige tout le flux d’énergie qu’elle manipule dans son corps ; lorsqu’elle emploie Sandr, elle est donc incapable d’utiliser la magie. Par contre, ses capacités physiques deviennent extraordinaires ; elle soulève et manie son outil de combat comme une simple épée. Elle peut sans problème effectuer des mouvements complexes et rapides, bondir au dessus du sol, faire tournoyer son arme d’une main, bref des mouvements hors de portée d’un duelliste banal. Cette énergie se retrouve aussi dans l’arme, qui s’en trouve allégée, et en coordination parfaite avec Lina. Elle semble assez occasion presque douée d’une volonté propre, mais n’est en réalité qu’une extension de celle de sa manieuse. Elle a appelé la technique qu’elle utilise lors de son maniement du Zanbato le Djem So, du nom d’une autre des techniques enseignées dans son dojo, variante de l’Ataru basée sur la force et la puissance des coups.



Rank personnalisé désiré : Duelliste errante




Edit: désolé du double post, mais ça passait pas en un seul message...

Citation :

Il s’abrutissait devant la télévision en rentrant de son boulot ennuyeux à mourir, en s’engloutissant des bières, l’œil vide, la paupière basse…

Citation :

En fait, elle reprit conscience au moment où les forces de l’ordre la traînait vers un véhicule de transport de suspects, et elle tomba à genoux en hurlant. Les policiers se penchèrent pour la relever…

Étant donné qu'Angelus est un monde "médiévale" tout en étant "futuriste", je ne sais pas quoi dire sur la télévision et les voitures. Si j'me souviens bien Zao m'avait dit que la télévision existait sur Angelus, mais pas les voitures. Mais comme j'en suis pas sur je pense que c'est à lui de répondre à ses détails.

Mais comme ses deux points ne sont que des infimes détails je valide la fiche. ^o^

Bienvenue. ;)

Hmm en tout cas dans l'empire la télé, et les ordinateurs existent, avec internet, et les véhicules de transport...ça laisse de la vériété , c'est pas forcement une voiture (mais quand un moteur permet à un mecha de se deplacer je vois pas pourquoi y aurait pas de voiture)

Merci ! Me voila enfin sur Angelus ! C'est le bonheuuuur....

Omicro-onde is gonna dominating the forum !

Meme que mon nom il est plus chiant a prononcer d'abord

Oh Oh,

Encore une fiche interminable. Félicitation !

Et ne t'inquiètes pas pour le double post, j'ai du en faire trois moi... :p

Bienvenaille !

[mode humour pas drole: ON]

Oui,merci, mes fans.. Je te dédicace cette bio, à toi public, et je voudrais remercier mes parents sans qui...
*relis sa bio*
*se rend compte de l'erreur*
Oui, je voudrais donc remercier mes amis sans qui...

[mode humour pas drole: OFF]

Il est vrai que sur mes quatre bios de perso rp, (pas sur Angelus, là c'est ma première), trois sont trés longue... Bien que je sois trés loin de ton niveau, Phenix. Je vais de ce pas poster mon premier topic !

*va de ce pas poster son premier topic*

Bienvenue sur Angelousse^^

Edit de la fiche de descriptions physique... Il me semblait assez dur de survivre trois ans dans une jungle peuplée de monstres sans écoper de quelques cicatrices, particulièrement quand on cherche le combat.
Et merci du rank, je trouve que c'est une bonne idée de permettre aux membres d'en choisir un...